Nous l'avions craint mais cela ne s'est pas produit, comme en attestent les chiffres relatifs aux orientations en seconde professionnelle. Les recteurs ont en effet fait montre d'une extrême vigilance pour contenir cette offre, ce qui explique que nous ayons surmonté ce cap avec succès. Il n'empêche que la tension est encore vive, et ce d'autant plus qu'elle est alimentée par l'inquiétude de certains professeurs, qui n'ont pas encore rôdé le parcours en trois ans et qui appellent de leurs voeux la mise en place de CAP.