J'ai subi 26 contrôles en quatre mois : cinq inopinés, les autres en compétition. L'un des contrôles inopinés a été diligenté par l'AFLD, les quatre autres par la fédération internationale de biathlon ; dans un cas, les contrôleurs sont venus jusqu'à mon domicile depuis la Slovénie, ce qui peut surprendre. Les contrôleurs, français ou étrangers, sont parfois trop naïfs et ne surveillent pas les sportifs lorsqu'ils urinent. Une meilleure formation écarterait tout risque de vice de procédure.