Interrogé par M. Bernard Seillier, rapporteur, sur le rôle de la formation professionnelle à l'égard des salariés ne maîtrisant pas le socle minimal des connaissances, M. Jean-François Veysset a souligné qu'il s'agissait plutôt d'une responsabilité régalienne de l'Etat et de l'Education nationale. Il a ajouté que certains jeunes avaient besoin de parcours différents et professionnalisés, qui stimulent leur désir d'apprendre.
En réponse à une question de M. Bernard Seillier, rapporteur, sur les créations d'emplois prévisibles dans le domaine des services à la personne et sur l'adaptation de la formation professionnelle à ces besoins, M. Jean-François Veysset a évoqué l'évolution de ce secteur qui « se constitue en tant qu'employeur » et doit mettre en place des outils de qualification adéquats.
s'est ensuite demandé si le niveau actuel de la mutualisation des crédits de la formation professionnelle était satisfaisant.