a indiqué que les entreprises de moins de dix salariés faisaient l'objet d'une attention toute particulière afin de remédier aux insuffisances de formation que connaissent leurs salariés. Il a ensuite souligné la nécessité d'optimiser les fonds consacrés à la formation continue et de développer le dialogue pour que celle-ci fasse l'objet d'un commun accord entre le salarié et l'employeur. Il a indiqué que l'efficacité des stages dépendait étroitement de « l'appétence du salarié », avant de signaler que l'Agefos mettait en place des mesures de discrimination positive pour que les femmes puissent suivre une formation à l'issue de leur congé de maternité.