a ensuite abordé la question de la formation dans les emplois de service. Elle a tout d'abord évoqué la complexité du secteur des services à la personne, en observant, au terme de son analyse, que 80 % des personnes qui fournissent des aides à domicile ne sont pas diplômées.
Elle a jugé nécessaire de réfléchir à un « coeur de compétences » spécifique à ce secteur, comme les qualités relationnelles, sur lesquelles pourraient se constituer des formations modulaires, tout en s'efforçant d'éviter d'allonger la liste des 15 000 titres et diplômes homologués que l'on peut dénombrer aujourd'hui.