Nous sommes preneurs de consultations associant toutes les parties. C'est ainsi que nous procédons dès lors qu'il s'agit d'élaborer des stratégies transversales. Nous avons tout à y gagner, car ces débats se tiennent de toute manière : autant qu'ils aient lieu le plus en amont possible pour en tenir compte. Nous sommes toujours plus efficaces et intelligents à plusieurs !
La question du calendrier est pertinente. Nous avons évoqué les discussions sur le traité BBNJ dans le cadre de l'AIFM. Il faut avancer sur le sujet, et voir comment y intégrer une vision française et européenne. Peut-être faut-il attendre que tout cela se stabilise, ce qui sera fait en 2022-2023.
Aujourd'hui, différentes instances - le Conseil national de la mer et des littoraux, le Conseil national de la transition écologique, le Conseil national de la protection de la nature, le Comité national de la biodiversité - peuvent discuter de ce sujet. Mais l'organisation d'un groupe de travail ou d'un « Grenelle » sur la question me semble pour l'instant prématurée.