Notre arsenal de conventions avec les pays producteurs de drogues - je pense d'abord au Maroc, notre premier fournisseur de cannabis - est-il suffisant ?
La production et la distribution de drogues brasse beaucoup d'argent. M. Brice Hortefeux, lorsqu'il était ministre de l'intérieur, nous avait dit qu'il allait « frapper au portefeuille ». Notre arsenal juridique est-il suffisant pour lutter contre le blanchiment d'argent et les profits qu'il génère ?