après s'être interrogé sur les réalisations concrètes du président du CNFPTLV, s'est intéressé au devenir des 180 000 jeunes qui sortent chaque année du système scolaire et de formation sans qualification et sans métier. Mme Gisèle Printz a estimé, pour sa part, que la formation professionnelle ne s'adresse pas suffisamment aux chômeurs et remarqué que, par conséquent, les effectifs les plus nombreux de personnes à former relèvent de l'ANPE.