a approuvé ce propos, en soulignant le rôle essentiel des collectivités territoriales en matière de carte professionnelle.
S'agissant des formations « psycho-sociales », il a rappelé que la logique de la sélection en formation initiale conduisait les effectifs de lycéens qui n'ont pas accès aux filières sélectives de l'enseignement supérieur à s'inscrire à l'université, ceux qui n'ont pas les connaissances requises pour suivre une filière scientifique n'ayant alors guère d'autre choix que de s'inscrire dans les filières de psychologie et de sciences humaines. Il a estimé que le débat sur l'orientation constituait, à bien des égards, une « fausse piste », en insistant sur le fait que, faute notamment de maîtrise suffisante de la langue, un certain nombre de titulaires de baccalauréats technologiques se dirigeaient vers l'enseignement supérieur sans avoir le niveau de connaissances ou la capacité de rédaction suffisante pour y réussir.