a tout d'abord indiqué que désormais un diplôme de niveau élevé n'était plus une garantie absolue d'accès à l'emploi, mais que la relation entre la possession d'un diplôme d'enseignement supérieur et les chances d'insertion demeurait solide. Puis il a estimé nécessaire de dépasser les clivages ministériels pour faire progresser la politique de formation professionnelle. Il a également jugé souhaitable l'élaboration d'une carte scolaire professionnelle et la réduction simultanée du nombre excessif de diplômes. Il a enfin souligné l'intérêt qui s'attache à aménager un statut permettant d'accroître le nombre de formateurs issus du monde de l'entreprise et invité à s'inspirer de l'enseignement agricole, qui se caractérise par un degré d'adaptabilité et de mobilité exemplaire.