a prôné, tout d'abord, un plan à cinq ans sur les perspectives d'emploi afin de financer la formation aux métiers de demain, plutôt qu'à ceux d'hier.
Puis il a estimé parfaitement légitime la réflexion sur la qualité et le statut des formateurs, et sur la nécessité d'un appui, notamment social, plus constant des jeunes en formation professionnelle : ils ont besoin d'une présence continue des adultes.
Il a également indiqué que les préoccupations de branches devaient être conciliées avec celles de l'ensemble de l'économie, en rappelant l'importance de « l'interbranches » et les inconvénients du cloisonnement : il a illustré son propos en se demandant « Qui finance aujourd'hui les formations dans le secteur des services à la personne ? ».
Il a enfin souligné que la formation des jeunes est une grande cause d'intérêt national, nécessitant une démarche qui fixe les priorités avant de définir les moyens de les atteindre.