a estimé que la lutte contre l'illettrisme ne devait pas être guidée par une approche structurelle et budgétaire favorisant une structure unique. Elle a marqué sa préférence pour une approche participative dans laquelle une structure thématique légère peut proposer des outils aux différents acteurs - collectivités territoriales, rectorat, associations - qui mettent en place des actions tenant compte de la diversité des personnes et des territoires. Refusant la vision cloisonnée et administrative de la lutte contre l'illettrisme, elle a rappelé la nécessité de mieux informer les décideurs et de « déstigmatiser » l'illettrisme afin de mettre en oeuvre la stratégie de l'ANLCI, qui est de « Réunir pour mieux agir ».