Rien n'empêche de faire de la science en haute mer. Nul besoin de l'AIFM pour cela. Le traité BBNJ définira les enjeux de partage des connaissances et d'accès aux ressources génétiques. Pour faire de l'exploration, il faut une concession de l'AIFM ; la France en a deux. Cette concession est définie par un code minier. Les licences d'exploration correspondent en effet à de la prospection minérale comme il y a de la prospection pétrolière.