La fiscalité n'est pas un élément en soi : il faut partir de nos compétences et voir comment les financer.
On dénote toutefois dans ce domaine une certaine impréparation, une certaine instabilité et une inégalité de la répartition de la péréquation, telle qu'on commence à la voir poindre.
Le Président Lebreton l'a dit : nos marges de manoeuvre sont de plus en plus étroites. Nous sommes paralysés soit par une fiscalité figée, qu'il s'agisse de la DCRTP ou de la DGF, soit par les impôts indirects comme les DMTO ou la CVAE et liés par la conjoncture. Les limitations que nous subissons sont très fortes, alors que nos dépenses croisent généralement de l'ordre de 4,5 à 6 % par an.