Nous sommes dans une période plus que troublée. Cela se ressent au niveau du Conseil de l'Europe, qui est l'Europe géographique élargie à la Turquie, à l'Azerbaïdjan, à l'Arménie, etc. Plus les Balkans. Or l'attitude de la Serbie, candidate à l'adhésion à l'Union européenne, n'est pas nouvelle. C'est un pays proche idéologiquement de la Russie et très nationaliste. Ce dernier point est antinomique avec le désir d'entrer dans l'Union européenne.
Quant à l'attitude des Britanniques, elle est effectivement surprenante. Mais, dans la ligne du Brexit, on peut lire le désir du gouvernement de Boris Johnson de prendre ses distances avec l'Europe, y compris en matière d'immigration.