Pour nous, les grands projets doivent être sortis des enveloppes régionales et placés au sein d'une enveloppe gérée par l'État. Charge à lui de s'appliquer les 50 % en renaturant des espaces. Chacun doit s'appliquer la règle à elle-même.
Nous avons longuement discuté : il nous a semblé que c'est ce qui était le plus équitable et que cela permettait une dynamique sans que l'État ne sorte de l'esprit de la loi, que nous partageons.