Philippe Boillat, directeur général des droits de l'Homme et de l'État de droit du Conseil de l'Europe :
Les deux sont possibles, complémentaires - mais en matière de big data, un contrôle juridictionnel paraît plus difficile à mettre en oeuvre, puisqu'il faudrait savoir qu'on est espionné pour pouvoir s'en plaindre...