La crise a révélé des difficultés qui lui étaient probablement antérieures et dont les sous-jacents sont indépendants de ce contexte exceptionnel. Aviez-vous perçu, avant cette crise, un mal-être chez vos étudiants ?
Contrairement à d'autres cursus de l'enseignement supérieur, vous avez maintenu les cours en présentiel. Il ne s'agit bien sûr pas d'entrer dans une polémique, mais de savoir si vous avez constaté plus d'effets positifs dans ce maintien des cours en présentiel, tant sur le plan pédagogique que psychologique.
Quelles actions avez-vous pu entreprendre ces derniers mois pour accompagner davantage les étudiants ? Envisagez-vous la poursuite de certaines d'entre elles au-delà de la crise sanitaire que nous traversons ?
D'une manière générale, quels enseignements pouvons-nous tirer collectivement de la période que nous vivons depuis un an ? Dans quelle mesure influera-t-elle sur la façon d'étudier et d'organiser les études, dans une période de crise ou hors crise ? Nous souhaitons réinterroger un certain nombre de politiques publiques afin de les adapter pour tenir compte de ce qui s'est passé.