Je ne dis pas que nous n'avons pas suffisamment de moyens. Pour autant, je ne refuserais pas une infirmière et une assistante sociale si ces postes nous étaient accordés. La crise a mis l'accent sur cette problématique. Il fallait répondre à un nombre plus important d'étudiants qui n'allaient pas forcément bien avec des personnels qui ne sont pas prioritairement affectés aux étudiants des classes préparatoires. C'est toute l'ambiguïté juridique d'accueillir des étudiants de l'enseignement supérieur dans des lycées. 25 % des étudiants se trouvent dans ce cas. Or lorsque les lycées restent ouverts, ces étudiants se rendent en cours.