C'est une question difficile. J'ai le sentiment personnel qu'il y a une prise de conscience chez les pouvoirs publics, chez les émetteurs, chez les investisseurs, ainsi que dans l'opinion publique, que les notes ne pas des « vaches sacrées » et qu'il faut les considérer avec précaution. On est moins prêt à se laisser faire et on regarde de plus près ce que font les agences, qui sont peut-être en voie de banalisation.