Jacques de Tournemire, ancien conseiller pour les industries de santé auprès du ministre M. Jean-François Mattei :
Il existe déjà une commission de la déontologie. L'alerte est souvent l'un des points faibles, car l'information ne remonte pas jusqu'au ministre de la santé par les canaux officiels. Peut-être faut-il imaginer des canaux parallèles ?