La loi prévoit la scolarisation à trois ans, voire à deux ans dans les quartiers défavorisés.
Nous avons fait un choix différent. Comme l’excellent rapport sénatorial de Mme Papon et de M. Martin sur le développement des jardins d’éveil, nous avons été guidés par le principe fondateur de l’intérêt supérieur de l’enfant – principe que Mme Papon a rappelé dès le début de son intervention –, et donc par la volonté de garantir la qualité de l’accueil des tout-petits.
Les enfants de deux ans sont des bébés.