Je pense que cela provient des deux ! J'ai, il y a longtemps, publié un article dans « Libération » sur les accidents de la route disant que la société doit les accepter, ceux-ci étant une façon de libérer la violence et éviter ainsi qu'elle ne se traduise autrement. Je me demande s'il n'en va pas de même pour le halal ? Comment être directif en la matière ? Il faut que les pouvoirs publics le soient d'une façon ou d'une autre.