Les travaux sur les rythmes de l'enfant ont débuté en 1912. A chaque fois que l'on coupe la semaine par une journée, la matinée qui suit est perdue pour les apprentissages, le temps que l'enfant reprenne son rythme. Le lundi matin, les enfants ne travaillent ainsi généralement pas très bien. Il faut également tenir compte des difficultés familiales, ou du mauvais sommeil, par exemple, qui influent sur l'efficience cognitive des élèves. Nous avons donc choisi le mercredi.