Nous avions bien besoin d'un tel regard historique.
Lorsque les vacances ont été décentralisées au maximum, on est arrivé à définir 28 zones. Beaucoup nous demandent aujourd'hui de laisser la parole aux territoires pour améliorer la situation. Or, vous avez dit que cette solution avait engendré le chaos. Ceci signifierait donc qu'il s'agit d'une fausse bonne idée, et qu'on a besoin d'un cadre qui, certes, laisse un peu de souplesse mais fixe des limites.
Par ailleurs, vous avez dit que Xavier Darcos avait exhumé le sujet des rythmes scolaires. On n'a toutefois pas eu l'impression que sa réflexion ait été très étayée...