Je parlais des acteurs sportifs qui veulent, à juste titre, investir ce temps. Pourquoi pas ? Aujourd'hui, nous sommes encore sur des impressions. Il semble à un certain nombre d'acteurs du mouvement sportif que ce temps est intéressant, en particulier pour les fédérations sportives. Il faut donc l'investir, mais d'autres commencent à évaluer un certain nombre d'effets et estiment qu'ils perdent des licenciés, la pratique des activités sportives sur le temps périscolaire ne profitant pas aux clubs.
L'outil que nous proposons, qui se veut pratique, doit être centré sur l'acteur principal qu'est l'enfant, mais servir également à tous ceux qui investissent ce temps, au plein sens du terme, pour les aider dans la définition des politiques qu'ils mettent en oeuvre au service des enfants.