Notre initiative a reçu en Europe un soutien très fort de tous les groupes politiques. La régulation suscite un débat très vif : nous prônons la concurrence des agences et la fin des monopoles, nous sommes donc opposés à l'idée d'une rotation des agences, qui ne peut que favoriser les agences existantes, « cimenter » le monopole des trois agences, en répartissant l'argent sans égard au mérite.
Dans l'ensemble, nous avons confiance, la communication avec la Commission européenne et l'AEMF est bonne et nos échanges fructueux nous permettent d'envisager l'avenir avec sérénité.