Ils sont trop longs : il faudrait les ajuster aux cinq semaines de congés payés. Les ruptures de la Toussaint, de Pâques, aggravent les choses pour les plus fragiles. Les officines de travail scolaire gagnent des millions d'euros grâce à la culpabilité des parents les plus modestes. Est-ce acceptable ? À nous de réaliser la fameuse 25e heure pour des récupérations. Je suis convaincu que nombre d'anciens instituteurs seraient prêts à revenir travailler.