Je partage l'analyse de Jean-Yves Leconte. Lors de la réunion de la commission permanente, quand l'amendement a été présenté, il y a eu de nombreuses réactions négatives, mais aussi des pays se sentant très peu concernés. On retrouve ces mêmes délégations qui, terrorisées par leur proximité avec la Russie, ne s'expriment pas dès lors que les propositions sont clivantes et sanctionnent la Russie.