Je regrette que ces parlementaires n’aient pu constater, comme j’en ai eu l’occasion moi-même, les attaques dont ont été victimes les gendarmes, dont certains ont reçu de l’acide sur les pieds.
Je regrette, monsieur le sénateur, que vous n’ayez pas entendu les deux conférences de presse organisées par Mme la préfète avant la manifestation, qui était interdite depuis le 17 mars, ni même celle du procureur de la République.
Manifestement, vous vous êtes assis sur tout cela : sur les violences contre nos gendarmes, sur l’interdiction de manifester, sur les conférences de presse de la préfète de la République et du procureur de la République.