C’est le Samu des Deux-Sèvres qui le dit lui-même. Écoutez-le. Je sais que cela vous ferait plaisir de penser que les gendarmes souhaitent la mort des gens, mais tel n’est pas le cas. C’est le médecin du GIGN, monsieur le sénateur, qui a fendu la foule, alors qu’il était harcelé par ceux qui étaient, manifestement, vos camarades d’un jour…