Je vous remercie, monsieur le ministre, de votre réponse qui me donne beaucoup d’espoir.
Vous le comprenez, la sous-compensation et l’augmentation des dépenses obligatoires assèchent le système. Sans modification favorable, on introduira de l’incohérence entre les discours et les actes.
En vue de retrouver de la cohérence, je vous donne l’occasion de corriger la sous-compensation, afin que les Français aient confiance en vous !