Je vous remercie de ces précisions, madame la ministre, mais je dois tout de même attirer votre attention sur deux points.
D’une part, nous avons encore besoin de gaz, car beaucoup d’habitations, notamment en milieu rural, sont encore chauffées ainsi et, pour ces personnes, changer de mode de chauffage nécessiterait des investissements importants, ce que tout le monde n’a pas les moyens de faire.
D’autre part, la situation récente doit nous conduire à être prudents : tout miser sur l’électricité risque de nous rendre particulièrement vulnérables.
Il est souhaitable de multiplier les sources d’approvisionnement énergétique si l’on ne veut pas se trouver en difficulté.