Je vous remercie de ces éléments de réponse. Les intentions derrière le texte étaient évidemment louables, mais nous voyons des effets de bord. Pour l’avoir vécu pendant une trentaine d’années, je sais qu’il n’est pas possible d’installer des bancs et des bâches gelées avec des gants. Et les légumes, qui sont des denrées périssables, s’abîment.
Les conséquences sont donc globales. Il serait bien d’intégrer une mesure dérogatoire spécifique pour les domaines d’activité en question, notamment dans les marchés et les territoires de montagne comme le mien, où les températures sont négatives trois à quatre mois par an.