Défendre le pastoralisme, c’est également défendre les centaines d’éleveurs et d’agriculteurs qui font vivre nos traditions et qui contribuent à nourrir avec qualité les Bucco-Rhodaniens et des millions de Français.
Mon propos n’était pas de demander l’éradication du loup, espèce protégée par la convention de Berne de 1979 ; il s’agit bel et bien de garantir aux agriculteurs et aux éleveurs la pérennisation de leur activité. Les pouvoirs publics leur doivent bien cela.