S’agissant du cadrage macroéconomique et des doutes sur les prévisions de croissance, voilà un an, j’entendais, ici même – je le rappelle –, certains douter de la possibilité d’atteindre une croissance de 2, 5 % en 2022 ; or, nous avons dépassé ce taux.
À l’automne dernier, certains remettaient en cause la perspective d’avoir une croissance positive en 2023 ; les prévisionnistes sont en train de s’aligner sur notre estimation de 1 % de croissance pour l’année 2023. Ainsi, le FMI, que vous avez évoqué, prévoit 0, 8 % et l’OCDE 0, 7 %.
Oui, notre économie résiste, parce que nos entreprises embauchent et investissent. C’est bon pour le pays, pour l’emploi, et c’est bon pour les finances publiques.