La guerre des gangs – nous le savons – se répand dans tout le pays, et nous aurions tort de penser que cette situation ne serait propre qu’à Marseille.
Nous soutenons ici les forces de l’ordre. Nous respectons la police. Toutefois, quand les choses ne fonctionnent pas, le ministre doit revoir sa copie.
Alors, aujourd’hui, madame la ministre, au-delà de Marseille, c’est pour toutes les villes de France que nous nous indignons et que nous vous demandons ce que vous comptez faire.