Acte I : le Président de la République, face caméra, multiplie depuis un an les annonces sur l’organisation scolaire et son évolution.
Acte II, seul et en militant, pour enfin exister, vous vous concentrez, monsieur le ministre, sur deux sujets. Une laïcité à géométrie variable, qui conduit au torpillage du Conseil des sages et qui laisse sans directive professeurs et proviseurs, et un ciblage éculé de l’enseignement privé, qui serait – vieux fantasme de la gauche – la source des défaillances de l’enseignement public.