Sur ce point, l'usage de drones, pour aller plus vite, plus loin et plus fort en matière d'épandage, ne règlera pas quoi que ce soit.
Non, rejeter l'avis de l'Anses n'est pas sérieux, car si cette agence avait existé voilà quarante ans, nous aurions certainement interdit bien avant le chlordécone aux Antilles.