Nous avons besoin de reconquérir notre souveraineté. En la matière, nous devons admettre notre échec collectif.
Considérer la question avec lucidité en se gardant des pures injonctions : c'était bien l'objet du texte. D'autres initiatives, parlementaires ou gouvernementales, viendront, à commencer par le projet de loi d'orientation agricole.
Nous devons être au rendez-vous pour les agricultrices, pour les agriculteurs, pour notre agriculture. La souveraineté alimentaire est aussi importante que les autres formes de souveraineté : énergétique, industrielle ou militaire.