Face au refus catégorique de la direction d’augmenter les salaires, un compromis dans la douleur a été trouvé : 0 % d’augmentation salariale, mais des primes désocialisées. Le délégué CFTC le dit très clairement : « C’était cela ou rien. Le 0 %, on l’a très mal vécu. »
Gréviste ou non, personne ne trouve normal qu’après « 20 ans de boîte » les salaires plafonnent au Smic au moment où tout augmente. Je partage l’inquiétude de ces femmes salariées, grandes perdantes de la réforme des retraites