En termes de communication, lorsque nous expliquons l'impact des plastiques, nous avons conscience que cet impact n'a d'effet que longtemps après leur utilisation. Nous devrons fournir un effort de communication sur ce point et sur les aspects de bombe à retardement et de réservoir. Si nous ansorbons l'équivalent d'une carte bleue ou d'un petit grain de riz de plastique, nous n'en voyons pas les effets. Le plus difficile est de faire comprendre comment on peut imaginer que les effets soient nuls, au regard des quantités de plastique accumulées dans notre environnement et qui se dégradent.
Nous parlons beaucoup des consommateurs, mais j'aimerais que nous parlions davantage des acteurs très actifs : les industriels. Comment les sensibiliser ? Une grande partie du travail doit être mené avec eux. Sans eux, nous serons impuissants.