Le niveau de préparation des Britanniques est une inconnue, même si nous recevons des informations par les ambassades. Dans un premier temps, il n'y aura pas de contrôles à l'entrée de leur pays. Mais cela peut évoluer. J'ai rencontré beaucoup de hauts fonctionnaires, avec l'autorisation du Gouvernement, en décembre dernier. Ils ont les mêmes problèmes que nous mais ont des difficultés à les appréhender techniquement. Il faudrait qu'on puisse assez rapidement avoir des discussions opérationnelles entre les deux rives du Channel.
La question des animaux vivants préoccupe les ports normands, par lesquels transitent beaucoup de chevaux. Ce sont tout de même des animaux extrêmement soignés, et le risque sanitaire que représente un cheval de course ou de compétition est faible.