J'entends bien, mais le risque – on l'avait déjà évoqué au moment de la loi Confiance – est d'emboliser l'instruction, qui n'a pas besoin de cela. Nous sommes tout de même ici pour alléger considérablement la charge de travail de nos magistrats, de nos greffiers et de nos agents administratifs.
La solution que je vous propose est celle qui me paraît la plus équilibrée et la plus adéquate.