Évidemment, il faut changer le marché européen. Nous le faisons en profondeur, notamment en matière de fixation des prix de l'électricité.
Pour l'heure, ne faites pas peur à des ménages qui, je le répète, au 1er juillet prochain, ne verront rien, si ce n'est peut-être, pour certains d'entre eux, une baisse de tarifs.