Je comprends ce débat, mais il soulève deux difficultés.
D'une part, on imagine difficilement contraindre une chaîne musicale, par exemple, à investir dans des programmes d'information. Il faudrait donc se limiter aux seuls éditeurs qui diffusent effectivement de l'information, mais à quel degré ?
D'autre part, comment mettre en œuvre cette mesure ? Quelles dépenses doivent-elles être comptées comme des dépenses d'information ? Ce n'est pas si évident.
J'émets donc un avis de sagesse sur ce sujet complexe.