Je regrette également cette disposition, car les coupures publicitaires dénaturent les œuvres cinématographiques et entraînent une perte de public, celui-ci se tournant vers la télévision à la demande et les plateformes de streaming.
L'augmentation du nombre de coupures publicitaires contribuerait encore davantage au délaissement de la télévision en direct au profit des contenus délinéarisés, qu'ils soient légaux ou illégaux.
Le rapport de force entre les chaînes privées de notre audiovisuel et ces nouveaux acteurs ne peut être rééquilibré par une augmentation du temps de publicité à l'antenne. J'estime que cette tentative ne ferait, au contraire, qu'accroître le problème.
Telles sont les raisons pour lesquelles je suis opposé à cette troisième coupure.