L'instauration d'une troisième interruption publicitaire satisfera l'appétit des chaînes privées, qui disposeront d'une part encore un peu plus importante du gâteau publicitaire, au détriment des téléspectateurs et de l'offre culturelle.
D'un côté, on affaiblit l'audiovisuel public en plafonnant ses ressources, et, de l'autre, on augmente la part de recettes publicitaires des chaînes privées.
Au sein d'un texte qui entend renforcer l'audiovisuel public face à la concurrence privée, une telle proposition est pour le moins curieuse.