S'il est exact que cette disposition figurait dans le projet de loi dit Riester, j'estime qu'une troisième coupure publicitaire ne permet pas de regarder une œuvre dans les conditions les plus agréables.
Comme j'ai eu l'occasion de le dire hier, je suis pour ma part plutôt favorable à un statu quo en matière de ressources publicitaires.
Sur ces trois amendements identiques, je m'en remets donc à la sagesse du Sénat.