Madame la ministre, vous subventionnez l’apprentissage dans le secteur privé à hauteur de 6 milliards d’euros par an d’argent public.
Un apprenti du secteur public est-il à ce point moins méritant qu’il n’appelle pas le même effort national en termes budgétaires ? S’agit-il là d’une énième méthode pour faire peser une charge supplémentaire sur les collectivités territoriales ?